Selon la légende, c’est en ce lieu de toute beauté qu’Aphrodite, la déesse grecque de l’amour, est sortie des flots. Son nom grec, Petra tou Romiou, « le rocher des Grecs », est associé au légendaire héros byzantin, Digenis Akritas, qui repoussa les Sarrasins en maraude grâce à sa force étonnante.
Habité depuis les temps néolithiques, le site de Paphos fut un lieu de culte des divinités préhelléniques de la fertilité, puis d’Aphrodite elle-même. Le temple de la déesse, de construction mycénienne, remonte au XIIe siècle av. J.-C. Les vestiges de villas, palais, théâtres, forteresses et tombeaux confèrent au site un intérêt architectural et historique exceptionnel. Les mosaïques de Nea Paphos sont parmi les plus belles du monde:
La mosaïque des quatres saisons avec au centre Gaïa, la déesse mère, personnification de la Terre, entourée des saisons féminines excepté l’hiver en bas à gauche représenté par une figure masculine :
Les côtes de l’île sont variées et se partagent entre plages, criques et falaises:
La majorité des églises de Chypre appartiennent à L’Église orthodoxe de Chypre, une juridiction autocéphale de l’Église orthodoxe depuis 431.
L’hôtel à Polis avec un superbe coucher de soleil sur Mare Nostrum :
Des falaises baignées par une eau turquoise limpide :
L’église Saint-Lazare, au centre-ville de Larnaca, date de la fin du IXème siècle. Après sa résurrection, Lazare, ordonné évêque par Saint Barnabé, se serait rendu à Chypre où il aurait exercé son ministère. Pendant la période ottomane, l’église est transformée en mosquée par les turcs, puis redevient église à la fin du XVIème siècle. En 1970, lors de travaux de réfection, une crypte est découverte sous l’autel, contenant un sarcophage dont on dit qu’il serait celui de Lazare.