Saint-Pétersbourg, fondée par le tsar Pierre le Grand, devient en 1703 la capitale de la Russie à la place de Moscou. Elle devait permettre à la Russie d’« ouvrir une fenêtre sur l’Europe » et contribuer, selon le souhait du tsar, à hisser son pays au rang des grandes puissances.
La cathédrale Saint-Sauveur-sur-le-Sang-Versé a été construite à l’endroit où fut assassiné le 1er mars 1881 l’empereur Alexandre II. Malgré de grandes réformes libérales, dont l’abolition du servage, l’empereur succombe à la douzième tentative d’assassinat organisée par des terroristes du mouvement radical révolutionnaire.
C’est sur fond de feu d’artifice que je découvre le palais d’hiver, résidence des tsars, prolongé par les constructions successives du petit Ermitage, du grand Ermitage, du nouvel Ermitage. Tous ces bâtiments abritent désormais le musée de l’Ermitage.
Le musée de l’Ermitage, fondé en 1764, est l’un des trois plus grands musées d’art du monde aux côtés du Louvre et du Metropolitan Museum.
Le palais longe la Neva, prise dans la glace.
La cathédrale Saint-Isaac, bâtie entre 1818 et 1858 sous les règnes des empereurs Alexandre Ier , Nicolas Ier et Alexandre II, est par ses dimensions, la troisième cathédrale d’Europe après la basilique Saint-Pierre et la cathédrale Saint-Paul de Londres.
Ses canaux et ses rivières bordés de palais ont valu à Saint-Pétersbourg le surnom de « Venise de la Baltique ».
La cathédrale Saint-Nicolas des Marins.
Le portique du nouvel Ermitage, porté par dix figures d’atlantes.
Le TGV russe à destination de Moscou, à travers les campagnes enneigées.